Un ministère AMER
L'annonce la plus fracassante de la campagne présidentielle a sans doute été celle de la création d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale.
Il n'est pas inutile en la matière de recourir à des historiens de l'immigration ou a des politistes pour comprendre les implicites nauséabonds contenus dans cette proposition .
Tout d'abord, il faut comprendre de quelle immigration parle-t-on ou plutôt de quel problème ?Puis il faut considérer dans quelle mesure cette proposition s'inscrit dans la tradition nationaliste de l'histoire des droites en France.
La mise en relation de l'immigration et de l'identité nationale dans une même phrase implique par ailleurs que l'une nuirait à l'autre.
La réaction des intellectuels ne s'est pas faite attendre : après avoir argumenté, ils ont agit, symboliquement certes, en démissionant de leur fonctions à la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration, le 18 mai dernier, pour protester contre la création de ce ministère inacceptable.
Il n'est pas inutile en la matière de recourir à des historiens de l'immigration ou a des politistes pour comprendre les implicites nauséabonds contenus dans cette proposition .
Tout d'abord, il faut comprendre de quelle immigration parle-t-on ou plutôt de quel problème ?Puis il faut considérer dans quelle mesure cette proposition s'inscrit dans la tradition nationaliste de l'histoire des droites en France.
La mise en relation de l'immigration et de l'identité nationale dans une même phrase implique par ailleurs que l'une nuirait à l'autre.
La réaction des intellectuels ne s'est pas faite attendre : après avoir argumenté, ils ont agit, symboliquement certes, en démissionant de leur fonctions à la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration, le 18 mai dernier, pour protester contre la création de ce ministère inacceptable.
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