Rappel des faits
Lors d'une invitation à France Europe Express en mars 2007, en pleine campagne pour les présidentielle, sarko s'énerve contre la direction de France 3 dans les coulisses, parce qu' "on" le fait trop attendre pour le maquillage : qui est-il donc pour être ainsi traité...
Ça fait donc plus d'un an qu'il s'est promis de virer cette direction. "Ça va changer" maintenant, il peut le vraiment le faire.
En réaction à cet épisode, Le communiqué de la société des journalistes de France 3 relatif à cette affaire, montre que ça sentait déjà l'ORTF chez sarko et les journalistes l'avaient compris. On peut d'ailleurs se poser la question de l'importance politique de cette réforme de l'audiovisuel public : sont-ce là les priorités des français ? Non il s'agit d'une priorité personnelle (des journalistes à mettre au pas) et idéologique (la casse du service public en général) de notre président
Je trouve l'insolence et peut être même l'impolitesse des journalistes de France 3 salutaire et courageuse dans cette société où l'on est sans cesse rappelé à l'ordre individuel mais où l'intérêt général disparaît à vitesse grand V.
Ces gens défendent leur boulot et les valeurs qui y sont attachées et refusent de faire carpette devant le pouvoir : encore heureux ! On ne peut que s'en féliciter.
Ça fait donc plus d'un an qu'il s'est promis de virer cette direction. "Ça va changer" maintenant, il peut le vraiment le faire.
En réaction à cet épisode, Le communiqué de la société des journalistes de France 3 relatif à cette affaire, montre que ça sentait déjà l'ORTF chez sarko et les journalistes l'avaient compris. On peut d'ailleurs se poser la question de l'importance politique de cette réforme de l'audiovisuel public : sont-ce là les priorités des français ? Non il s'agit d'une priorité personnelle (des journalistes à mettre au pas) et idéologique (la casse du service public en général) de notre président
Je trouve l'insolence et peut être même l'impolitesse des journalistes de France 3 salutaire et courageuse dans cette société où l'on est sans cesse rappelé à l'ordre individuel mais où l'intérêt général disparaît à vitesse grand V.
Ces gens défendent leur boulot et les valeurs qui y sont attachées et refusent de faire carpette devant le pouvoir : encore heureux ! On ne peut que s'en féliciter.
Tu as oublié un point à la fin d'une phrase, dans le second paragraphe je crois.
RépondreSupprimerEt oui, ça y est je fais ma prof, je redeviens conne, qu'est-ce que tu veux, je ne peux pas m'en empêcher même en dehors des heurs de boulot....
Bon alors, sinon, heu, "notre" président, je te signale quand même que "notre" blog est supposé n'entretenir aucune attache perso avec le bougre aux talonnettes compensées!