dimanche 2 novembre 2008

Je suis une Bobo qui aime le bio et j'assume!

Et oui, vous ne l'aviez pas encore compris?
Je vois des films d'art et d'essai (en V.O) dans des cinémas indépendants, je visite des expos d'art contemporain délocalisées, j'achète des produits cosmétiques sans paraben et non testés sur les animaux, et bien sûr je suis contre les OGM et je mange bio (quand je peux).
Donc, c'est très clair, je suis une Bobo!
Et en plus je suis enseignante, c'est vraiment pas de bol!
Mais ça va, j'assume.
Alors, que tous les emmerdeurs à la critique facile me lâchent les baskets et aillent plutôt voir ce film qui sort en salle le 5 novembre.


L'idée de faire ce billet et aussi de relayer cette info, m'arrive ce matin par un mail d'Elizabeth, autre collègue qui a bien compris à quoi peut servir une messagerie électronique.
Voici ce qu'elle m'écrit:

Pour que ce film qui dénonce les méfaits de la mauvaise alimentation et des pesticides, réalisé par un français, soit le plus long possible lors de sa sortie en salle, il faut qu'un maximum de personnes regarde la bande-annonce dans les 3 jours à venir.
Faites passer, c'est sérieux. Même si vous ne visionnez pas complètement, c'est le nombre de visites dans les 3 jours qui fera son poids... Le voir est encore mieux. Bonne journée.

No problémo, on fait passer.
Mieux, on montre cette fameuse bande annonce.




Car il faut que ce film passe dans de grandes salles et soit vu par un max de personnes, pour qu'on cesse d'appeler " cassandre" ceux qui combattent l'agriculture intensive, l'emploi des pesticides et leurs méfaits absolument inhumains. Je ne vais pas vous refaire le coup de Monsanto etc.
C'est moins marrant que les "Chtis" comme film, mais peut-être que cela permettra de ne pas se réveiller un beau matin en se disant "Ha bon? Il y a un vrai problème concernant la dégradation de l'environnement? Tiens, je vais faire un lien vers le site de Greenpeace sur mon blog."
Alors: à vos blogs, bande de blogueurs et relayez-moi cette info!
;-)
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PS: le sujet de ce film m'en rappelle un autre, très peu connu, qui évoque un peu les mêmes problèmes: c'est Farrebique et surtout la suite Biquefarre de George Rouquier. Dans ces deux réalisations on comprend la modification de l'agriculture, entre les années 40 et 60 disons, et toutes les conséquences néfastes qui en découlent, en particulier pour la santé du paysan et celle du consommateur des produits "cultivés".

6 commentaires:

  1. J'avais déjà vu la bande annonce. Effectivement, on se demande quelle planète on va pouvoir laisser nos enfants et petits-enfants.
    Pour ma patr, j'ai fait 'sur le papier), le choix de la décroissance et du développement durable dans ma maison bertonne, avec lagunange, toilettes sèches, puits canadien. Mais tout cela a un coût, plus élevé que la pollution quotidienne.
    Allez, Anaïs, je vais relayer sur mon blog, il faut vraiment qu'on soit nombreux à porter le message.
    Bises.

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  2. ok, je vais relayer sur mon blog, ça me parait urgentissime. Philémon a raison, il est vraiment interessant ton blog. A bientôt

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  3. Salut à vous,

    Moi aussi la preuve :

    http://monmulhousebio.canalblog.com/

    Non aux produits toxiques !

    Bésitos

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  4. Je suis morte de rire parce que j'aurais pu écrire exactement (au mot près) la même chose;)
    je relaie alors!

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  5. Excellent article, très chère et sans doute excellent film... que l'on ne risque pas de voir prochainement un dimanche soir en prime sur TF1...

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  6. J'ai aussi relayé sur mon maigre blog, je suis absolument pour tous ces films écolos, "Une vérité qui dérange", "Un jour sur Terre"...
    Un grand merci pour cette info.

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